Machines à sous illégales au Mali : Un danger public qui doit être stoppé !
Comment la prolifération anarchique des jeux d’argent sape la sécurité, les jeunes et l’économie nationale. L’appel urgent pour protéger le PMU-Mali
Des machines à sous clandestines envahissent les rues, piègent les mineurs et défient la loi : le PMU-Mali, pilier de l’économie sociale, menacé par une concurrence déloyale et destructrice.
L'INVASION SILENCIEUSE : des machines à sous hors-la-loi partout,
Restaurants, hôtels, marchés, gares routières… Les machines à sous et jeux de hasard illégaux, souvent contrôlés par des étrangers ignorés par l’État, colonisent l’espace public. Installées au vu et au su de tous, ces pratiques échappent à toute réglementation, transformant ces lieux en zones de non-droit. Pire : des mineurs, accros à ces jeux, volent leurs familles et dilapident leur butin dans ces trappes financières.
PMU-MALI : Une institution légale étouffée par l’illégalité
Créé par la Loi N°94-020 et soutenu par le Décret N°94-273, le PMU-Mali détient légalement le monopole des paris sportifs et hippiques. Société d’économie mixte à 75 % étatique, il génère des ressources vitales pour le trésor public, finance des projets sociaux (santé, éducation, emploi des jeunes) et lutte contre la pauvreté. Pourtant, son rôle est sapé par des opérateurs clandestins qui détournent l’épargne des Maliens au profit de réseaux parallèles.
Les brigades des mœurs ont sonné l’alerte : malgré des rafles, les machines réapparaissent comme des « champignons ». Ces jeux illégaux alimentent la délinquance juvénile, l’endettement et l’insécurité publique. Les « manchots » (détenteurs de machines) organisent un pillage en règle, privant l’État de revenus essentiels et exposant les familles à la ruine.
Le PMU-Mali, symbole de souveraineté économique, mérite d’être défendu contre cette concurrence déloyale qui menace le développement national.
_La survie du PMU-Mali, c’est la protection de l’épargne malienne et de l’intérêt général. Agissons avant que le jeu illégal ne gagne la partie._
Source : Groupe de Presse
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